CR Conseil 20 mars 2013

Compte-rendu du Conseil Réseau Création, Arts et Médias

Clermont-Ferrand – 20 mars 2013

Membres présents :

Université d’Aix-Marseille / ED 354 Langues, Lettres et Arts

Jean-René Fanlo – directeur (excusé)

Université Michel de Montaigne – Bordeaux 3 / ED Montaigne-Humanités

Pierre Beylot – directeur

Université Blaise Pascal – Clermont 2 / ED 370 LSHS

Éric LysØe – directeur

Université de Nice Sophia Antipolis / ED 086 Lettres, Sciences Humaines et Sociales

Philippe Jansen – directeur

Université Paris 1 Panthéon Sorbonne / ED 279 Arts plastiques et sciences de l’art

Bernard Darras – directeur

Université Sorbonne Nouvelle Paris 3 / ED 267 Arts et Médias

Catherine Naugrette – directrice / co-directrice du Réseau

Didier Mocq – responsable administratif

Université Paris Diderot Paris 7 / ED 131 Langues, Littératures, Images

Evelyne Grossman – directrice

Université Paris 8 / ED 159 EDESTA

Jean-Philippe Antoine – directeur (absent, excusé)

Université de Paris Est – Paris 12 / ED 529 Cultures et Sociétés

Giusy Pisano – correspondante Réseau

Université de Lyon 2 Louis Lumière / ED 484 3LA (absente, excusée)

Michèle Clément – directrice(excusée)

Université Paul Valéry – Montpellier 3 / ED 058 Lettres, Littératures, Cultures, Civilisation

Jean-Michel Ganteau – directeur (excusé – procuration)

Université du Sud Toulon Var / ED 509 Civilisations et sociétés euro-méditerranéennes comparées

Franck Renucci – correspondant Réseau

Université de Toulouse 2 Le Mirail / ED 328Allph@

Monique Martinez – directrice / co-directrice du Réseau CAM

Jean-Michel Caralp – chargé de mission Réseau CAM

Clément Varenne – école des docteurs Toulouse

Le Conseil est ouvert par Monique Martinez qui se félicite de l’assiduité des membres du Conseil à la réunion et qui remercie Éric LysØe pour le parfait accueil dans les locaux de son école doctorale.

Le Conseil est accueilli par Georgiana Wierre-Gore – directrice adjointe école doctorale LSHS chargée des relations internationales – professeur en anthropologie de la danse — et Éric LysØe, qui présente l’école doctorale LSHS hôte de la réunion.

Il souligne la modeste insertion des docteurs en postdocs (10% à Clermont ; 20% dans certaines ED parisiennes) et constate que les postdocs sont mal structurés.

Les participants énoncent le nombre très variable selon les universités (2 à Paris 3, 17 à Paris 4), 2% à Bordeaux 3, selon Pierre Beylot, pour 650 doctorants.

Selon Éric LysØe, les p ostdoc à l’étranger sont pour les scientifiques. Chez les économistes les postdocs sont systématiques selon Bernard Darras.

Catherine Naugrette explique qu’un état des lieux en coupe des doctorats est possible à la CNU.

Les participants soulignent des menaces pesant sur les écoles doctorales : les maîtres de conférences pourront diriger une thèse, explique Éric LysØe.

À Paris 3, Cqtherine Naugrette explique qu’une commission décide du feu vert à l’habilitation. À Nice, par contre les habilitations sont souvent le fait de docteurs venus de l’extérieur nuance M. Jansen.

Se pose aussi le problème des débouchés et dse financement des thèses selon Mme Naugrette : de 2 à 8 contrats CIFRE ; beaucoup de cotutelles et doctorants étrangers.

Mme Martinez expose qu’à Toulouse 2 on observe 75% d’intégration dans l’enseignement supérieur alors qu’est produit un effort d’insertion dans le privé. Existe un effort de développement du lien avec entreprise : 7 CIFRE. La création de l’école des docteurs (septembre) sera complémentaire par rapport aux ED (sciences), et prendra la place du collège de l’école doctorale. Cette école des docteurs assurera la mutualisation formation transversales, sera un pilier international et portera des liens avec secteur non académique.

A Clermont, la situation est très différente comme l’explique Éric LysØe : pas d’infrastructure pour le collège doctoral. Pour secrétariat, secrétaires en simple CDD.

Pas de collège doctoral à Paris, explique Catherine Naugrette : VPCS gèrent à leur étage, pas de structure intermédiaire.

Monique Martinez explique comment la banque de données des doctorants (ADUM) sert à la visibilité des entreprises. Les écoles doctorales peuvent s’emparer de ces échelles pour effets de levier.

Selon Philippe Jansen, le Réseau lui-même peut être levier auprès des établissements (à Nice) : une régression : suppression des services (plus de collège des ED). Tous les leviers sont dans la main de la vice-présidente. Les formations sont mises en place par administratifs.

Bernard Darras expose qu’conflit existe à Paris 1 avec l’EHESS.

Selon Evelyne Grossman les choses ne sont pas à la même échelle à Paris. À Paris 7 : institut des écoles doctorales indépendant du VPCS.

Monique Martinez explique que l’cole des docteurs est construite en dur (à l’université Paul Sabatier), avec des écoles des docteurs virtuelles (antennes à UT1 et UT2). Le centre n’est ainsi pas coupé de la périphérie. C’est une construction nouvelle : financement plan campus et région. 850 000 euros/an (IDEX) + budgets établissements. Indicateurs dans 4 ans pour évaluation.

Éric LysØe explique qu’à Clermont : 90 000 euros/an pour 1000 doctorants (mais pas de lieu proprement dit)

180 000 euros pour 3000 doctorants à Paris 1, selon Bernard Darras mais le regroupement peut-être intéressant ou pénalisant.

Est posé la question : Faut-il pousser à l’autonomie du niveau D ou rester avec L et M ?

Doctorat apparaît comme un enjeu majeur des prochaines années selon Monique Martinez, alors que le segment L est au centre des préoccupation du ministère selon Catherine Naugrette.

Dans certaines disciplines mieux vaut détenir un master pro qu’un doctorat (Darras) d’où effort de négociation avec secteur privé pour que cela change.

Clément Varenne explique que le doctorat va apparaître dans les grilles indicielles de la Fonction Publique.

Catherine Naugrette évoque les diplômes qui axent la recherche par la pratique en arts appliqués.

Franck Renucci expose l’étude par observation de la licence à Toulon et de l’école d’art de Marseille. Un doctorat par la pratique est étudié : un séminaire à Paris au niveau de la danse (avec Jean-Christophe Par)é est intervenu à l’ISCC. Danseur, chorégraphe, Paré a travaillé avec ministère de la Culture. Diplôme dont la maquette sera envoyée aux membres du Réseau , et qui pourra s’articuler avec Nice, et avec Toulon. Comment accueillir l’artiste à l’université ? Pas forcément favorable aux structures qui dissolvent l’artiste.

Monique Martinez déclare que l’artiste n’est pas dissout par la structure. STARS a montré que l’art a une utilité sociale.

Bernard Darras s’inquiète de la volonté des écoles d’art que l’on reconnaisse les compétences de leurs enseignants et qui pourrait conduire à une dissolution du doctorat. Il annonce l’organisation d’un colloque (demandé par Ministère) avec 2 demandes (urgente) former tous les profs pour habilitation :

1ère partie : intégration des profs d’écoles d’art non docteurs : comment faire ?

2ème partie : former des artistes, mais veulent des artistes docteurs.

Il est souligné qu’une partie du flux des doctorants actuels viennent des écoles d’art.

Monique Martinez demande si le ministère va accepter que des écoles doctorales forment des docteurs en école d’art ?

Selon Bernard Darras il existe actuellement une compétition entre professeurs d’art et professeurs HDR.

Ce serait réduire à un même modèle des parcours différent selon Catherine Naugrette.

Monique Martinez déclare qu’on ne peut pas se passer des écoles doctorales : il faut être proactif en accréditant les écoles d’art.

Selon Didier Mocq, la passerelle serait système de co-direction.

Bernard Darras explique que les professeurs d’écoles d’art voudraient une dérogation transitoire sinon se sentent dévalorisés.

Catherine Naugrette souligne que tout le monde veut un doctorat !

Monique Martinez ajoute qu’il faut aussi penser la question des VAE (validation des acquis de l’expérience).

Évelyne Grossman demande si quelqu’un qui est en école d’art peut avoir un doctorat par VAE ?

Selon Bernard Darras, il peut être refusé.

Masters indifférenciés avec UE recherche (Renucci)

L’afflux vers les masters pro selon Bernard Darras et le DNSAP en équivalence M2 amène un afflux de demande au niveau D (ceci dans un projet d’homogénéisation de toutes les études supérieures sur le modèle international).

Selon Catherine Naugrette, la situation varie selon les disciplines.

Monique Martinez propose de faire remonter au Ministère les inquiétudes du Conseil Création, Arts, et Médias sous la forme d’une note.

Catherine Naugrette s’inquiète de la pléthore de candidats sur les postes de MCF s’il y a ouverture aux écoles d’art

Se pose aussi la question des dérogations : quelqu’un qui a un doctorat en médecine et qui a eu une dérogation à Paris 3 en art.

Catherine Naugrette évoque la situation antérieure de la thèse sur travaux.

Est-ce un véritable doctorat ? demande Bernard Darras. On peut être qualifié sans être docteur !

Le CNU peut donner une dispense de doctorat pour habilitation. Donc il existe d’autres voies pour avoir habilitation (théorie + pratique)

La LMD une bêtise selon Catherine Naugrette en raison de la diversité.

La question de l’impact des collectivité territoriales sur les projets doctoraux en raison des financements est posée : par exemple l’agglomération dirige (EPCC). Il existe un possible hiatus entre financement et direction scientifique ; Dans un même lieu cohabitent entreprises, artistes et collectivités territoriales.

Les collectivités sont très impliquées mais pas d’inflexion sur université à Clermont selon Éric LysØe.

Rapprocher les écoles d’art et Université est bien : Catherine Naugrette cite l’ exemple de Louvain, où existent différents types de diplômes : pratique, recherche, appliqué.

Franck Renucci rappelle qu’aux Etats-Unis existe un « doctorat basé sur la pratique ».

Pour l’insertion des docteurs, Monique Martinez évoque Adhoc Talent management : placement des docteurs.

Il est souhaitable de conduire des études des compétences disciplinaires et transversales en doctorat et compétences demandées en entreprise. Rapport Carrier

Pour l’obtention du doctorat par VAE, Bernard Darras rappelle que rien n’oblige à donner le titre dans la VAE.

Monique Martinez déplore que les professionnels conduisent les commissions de VAE sans présence majoritaire des écoles doctorales.

Le système des VAE a été créé sans penser aux problèmes au doctorat selon Bernard Darras.

Monique Martinez explique que c’est d’ailleurs la direction de la formation continue universitaire qui a produit le texte sur la VAE/

Franck Renucci va transmettre le rapport aux membres du Conseil ; Bernard Darras organisera un colloque en 2013 ou 2014 sur les doctorats en art basés sur la pratique : enjeux et répercussions (financé par Ministère Culture mais aussi Recherche). Il y a nécessité de prendre position (imaginer autrement : type de co-direction avec un non-docteur).

Pour Éric LysØe, il n’y a pas de problème à Clermont : la convention stipule que le jury est validé par le directeur de l’école doctorale.

Le Conseil s’accorde sur les décisions suivantes :

Action 1 : Faire une synthèse à partir de ce qui a été dit : note de synthèse et voir à qui elle sera adressée (PRES, CS des universités, Ministère). Cette note de synthèse sera finalisée en mai. Elle aura d’abord un usage interne et donnera lieu à finalisation lors de la prochaine réunion du Conseil.

– organiser une journée d’études ISCC (Institut des Sciences de la Communication) qui sera un état des lieux (Renucci) et qui préfigurera le colloque de 2014.

– Bernard Darras propose de faire venir des collègues étrangers au Conseil du Réseau. Inviter ces collègues (Belgique, Angleterre) au prochain Conseil du Réseau CAM à Paris.

Action 2 : liste de financement. Il est décidé de reprendre le travail qui avait été conçu par Anne-Claire Libouban et Bernard Darras et effectuer du lobbying

Des participants demandent pourquoi ce genre de document n’est pas nourri lorsqu’il était sur googledoc ?

Monique Martinez propose une mise à jour des données de la banque qui sera effectuée par Clément Varenne et un contact pris par l’ingénieur recherche de l’EDT.

Pour Bernard Darras la base de données concerne essentiellement Ile de France pour l’instant. À Paris 1, c’est scindé en trois rubriques : pré-doctorants / doctorants / postdoctorants

Le lobbying consistera à réorienter le financement des fondations vers les Arts et Médias.

Il est proposé de rencontrer une fondation, puis d’organiser une journée.

Il est aussi proposé de onstituer des contacts par d’anciens doctorants.

Monique Martinez souligne que l’action auprès des fondations est un travail de commercial : comment l’assurer ? est évoqué l’augmentation par cotisation des ED membres, mais il faudrait modifier la convention.

Philippe Jansen propose de défendre et de faire connaître l’unité de vue du Réseau par les ED au niveau régional.

  1. Faire un fichier de références
  2. Définition d’une mission pour une personne : démarchage plus commercial.

Monique Martinez propose un objectif de 12 RV en 2013 : et d’évaluer ensuite l’impact sur cette base.

Bernard Darras chiffre l’opération à 2400 euros

(…)

Il est proposé au chargé de mission de produire un devis à produire pour 10 déplacements.

Il est aussi proposé de prendre les RV et de coacher les directeurs d’ED pour RV.

Evelyne Grossman souligne que ce travail est déjà fait dans les universités.

Bernard Darras objecte qu’il n’est pass fait dans toutes universités: il faut rencontrer ces personnes pour voir comment elles travaillent et réorienter les appels d’offre.

Monique Martinez se demande si l’on peut à cet effet s’appuyer sur les services des établissements.

Didier Mocq rappelle qu’existent les rencontres université/entreprise.

Selon Bernard Darras, il faut étudier les appels d’offre existant et les ouvrir.

Monique Martinez propose de faire un texte de cadrage à partir des dispositifs existants.

Evelyne Grossman suggère de former tous les acteurs existants dans les universités et leur demander de faire ce travail de lobbying.

i Éric LysØe explique que la situation est très difficile dans ce domaine à Clermont.

Evelyne Grossman propose de faire un état des lieux .

Monique Martinez explique que l’on risque de se heurter au problème des territoires (carnets d’adresses).

Bernard Darras évoque sa confiance dans un travail d’explication, d’ouverture.

Didier Mocq propose de créer des doctoriales du Réseau.

Catherine Naugrette propose que chacun fasse venir une ou deux entreprises

Didier Mocq propose de se baser sur les CIFRE existants.

Mais Monique Martinez s’inquiète des objectifs : Est-ce une sensibilisation réciproque doctorants/entreprise ou entrer sur le champ des CIFRE ?

Franck Renucci propose d’établir un courrier afin d’obtenir un RV avec les fondations.

Evelyne Grossman propose un modèle de lettre qui pourrait être diffusé.

Bernard Darras se charge de faire un essai avec AXA, Louis Vuitton et en tirer des conclusions.

De même Monique Martinez propose de contacter la fondation EADS, L’Oréal. Elle propose de cibler fondations qui ne vont pas vers nos disciplines.

Pour Bernard Darras « Création » est vendeur car création = innovation.

Il est proposé de cibler les fondations et créer un support pour leur exposer ce qu’est le Réseau.

Dire aux fondations ce qu’est le doctorat dans le champ de la création.

Fin des travaux de la matinée

Après-midi

Présentation de la plateforme INGEMEDIA par Franck Renucci

L’objectif est fixé d’augmenter le nombre d’ED du Réseau Création, Arts et Médias sur le territoire national.

Contact sera pris à nouveau avec les écoles doctorales de Lille, Strasbourg, Caen, Rennes, Amiens, Grenoble.

Pierre Hartmann : directeur à Strasbourg.

Bernard Darras suggère dans un premier temps de les prendre comme membres associés pour une question de représentativité.

Le débat reprend sur la question des mutualisations d’actions et de formations dans le Réseau (une proposition de charte du label Réseau est distribuée par le chargé de mission).

Bernard Darras explique qu’à Paris 1 le collège doctoral prend en charge les formations transversales.

Catherine Naugrette rappelle que la transversalité doit être centrée sur Arts et Médias.

À Nice, pour Philippe Jansen, les formations mutualisantes sont celles qui intéressent le plus grand nombre. L’offfre va s’enrichir à partir de la rentrée prochaine.

Pour Éric LysØe, il faut construire et non partir de l’existant.

Les formations actuellement mutualisées ont été modifiées pour être dispensées sur des ½ journées différentes.

En mars on peut penser le plan de formation (transversalité de la civilisation, etc.). la mutualisation peut être pensée à ce moment-là.

Evelyne Grossman souhaie que l’on mutualise des choses pointues.

Pour Franck Renuci, on peut aussi raisonner en complémentarité : ex danse à Clermont, puis Toulon sur un parcours danse.

Philippe Jansen souhaite aussi coordonner les offres.

La formation doctorale à Paris 1 est dans une logique de pré-soutenance pour réduire les durées de soutenance selon Bernard Darras.

Catherine Naugrette rappelle que selon la spécificité de chaque ED l’engagement dans le Réseau peut être différent.

Philippe Jansen regrette de ne pas pouvoir proposer de formations mutualisables à ce stade.

Éric LysØe propose de reconduire la mutualisation des mêmes formations + danse et musique.

Catherine Naugrette propose un séminaire sur paroles et musique.

Monique Martinez propose le séminaire Dispositif et création.

À Bordeaux, un appel d’offres à Bordeaux a été lancé par le collège doctoral pour obtenir une formation mutualisable dans le Réseau.

L’offre est donc en passe de s’enrichir.

Les participants effectuent une étude critique du site RESCAM dans sa configuration actuelle et évoquent les formations qui pourraient y être ajoutées.

Éric LysØe décrit le prix de l’entreprise innovante organisé par la ville de Clermont: souvent 1er voire 2ème prix débouchent sur une vraie entreprise. Mais il est difficile de faire entrer des personnes extérieures.

Catherine Naugrette propose de recueillir des témoignages de personnes engagées dans les ARJ.

Bernard Darras propose de changer le titre « dispositifs innovants » en « ateliers projets »

Monique Martinez évoque l’idée d’un atelier projet à Toulon : action de tous.

A Toulouse ou à Clermont autour de la danse (Clermont)

Catherine Naugrette évoque la mise en place d’une mini école avec Sibiu (Roumanie) + Reims : manifestations artistiques + Young performing arts lovers : fonds européens pour faire circuler doctorants sur spectacle. Le directeur du festival de Sibiu intéressé par Réseau : amorce de développement international (ont déjà universités américaines) (Naugrette) Les inviter au prochain Conseil.

Catherine Naugrette lance l’université d’été :de Madrid qui est mutualisée dans le Réseau (5 place ouvertes). Les candidats seront choisis par les ED. Date limite : 15 avril.

Prix de thèse : faire remonter les candidatures à Paris 3 pour le 1er octobre et la décision sera prise à Paris 3 dans la foulée.

Quelques modification au site du Réseau sont suggérées comme changer le dernier onglet « rescam vous propose » en « colloque et journée d’étude »

« Séjour de recherche » ou « appel à contribution/participation »

Monique Martinez propose d’ouvrir des places à univers’scène » et propose de voir à cet effet Fabrice Corrons.

Le chargé de mission dresse le bilan des six derniers mois de sa mission :

– Signature quasi achevée de l’avenant n° 2 portant à 13 le nombre d’ED du Réseau.

– Refonte en cours du site du Réseau en collaboration avec les services de la Dtice de l’université de Toulouse, afin de rendre plus attrayante la page d’accueil et obtenir un meilleur flux de communication interne à destination des doctorants.

– Mission d’animation : création de plusieurs articles pour le site du Réseau afin de mettre en valeur le travail des doctorants sous fore d’interviews (prix de thèse, « bébé réseau »).

L’objectif est de renforcer la mission d’animation et d’étudier les flux de doctorants sur le Réseau.

Il est enfin proposé par Monique Martinez de :

– Mettre en place une forme d’échéancier pour les années futures.

– Trouver un affichage par un slogan décrivant le Réseau.

La séance est levée aux alentours de 17h.